Le bunraku
Il existe trois formes classiques de théâtre le kabuki, le noh, et le bunraku. Ces trois théâtres ont été exécutés pendant 1000 ans. Mais le bunraku est le plus vieux des trois. Au 17eme siècle, il s'est mis en valeur et est apprécié jusqu’à maintenant. Cette forme de théâtre est un théâtre de marionnettes qui sont à un tiers de la grandeur d'homme. Ces marionnettes sont animées par des tuteurs. L’un soutient la marionnette, fait fonctionner la tête et la main droite, l'autre la main gauche et le dernier les pieds ou la jupe suivant le sexe. Les tuteurs sont masqués de noir et les marionnettes sont en couleurs chatoyantes ce qui permet à l'assemblée de se focaliser sur les marionnettes plus que sur les personnes la faisant fonctionner.
Les têtes de marionnette sont faites de bois et représentent une variété de caractères tels que de jeunes femmes célibataires, hommes de grande force, le jeune, le vieux, l'expert,… Ceci permettant de faire dépeindre un éventail d'émotion. Le théâtre national de Bunraku d'Osaka a environ 400 têtes d'environ 40 types avec environ 40-50 apparaissant dans chaque représentation. Des têtes de marionnette sont méticuleusement conservées et la plupart sont utilisables pendant 100-150 ans. La tête la plus ancienne encore utiliser au théâtre a été faite en 1850.
Les marionnettes effectuent des formes dramatiques sous forme de chant (jouri) accompagner du shamisen. On appelle le "tayu", le narrateur et la voix de toutes les parties hommes, femmes, enfants. Souvent désigné sous le nom du Shakespeare du Japon, Chikamatsu Monzaemon (1653-1724) a écrit des pièces pour le théâtre de Bunraku et de Kabuki qui étaient très populaires avec des assistances de la bourgeoisie du temps et ces pièces sont toujours joués aujourd'hui.
Bunraku était par le passé l'une des formes les plus populaires du Japon de divertissement public. Cependant pendant les dernières deux décennies, ses assistances avaient graduellement diminué face à la concurrence des films, T.V. et jeux vidéo.
Dans l'effort de renverser la tendance grandissante, en avril 2001 kazuko yoshioka et des autres fervents admirateur du bunraku ont fondé le bunraku Oendan basé à Osaka (club de propulseur de bunraku). Osaka est la plus prestigieuse maison du bunraku, elle possèdent environ 6000 fidèles. Kazuko et ses membres avaient autoriser dans le théâtre de bunraku des conférences libres, mais aussi en faisant circuler des flyers dans la ville.
Un grand bon a été fait à cet art quand l'UNESCO a déclaré le bunraku comme chef d'oeuvre oral et intangibles héritages. Afin de célébrer cette récompense mais aussi de faire toujours promouvoir le bunraku, le théâtre d'Osaka donnait 30 places pour assister aux représentations pour des non japonais.
Des marionnettes centenaires
Les têtes de marionnette sont faites de bois et représentent une variété de caractères tels que de jeunes femmes célibataires, hommes de grande force, le jeune, le vieux, l'expert,… Ceci permettant de faire dépeindre un éventail d'émotion. Le théâtre national de Bunraku d'Osaka a environ 400 têtes d'environ 40 types avec environ 40-50 apparaissant dans chaque représentation. Des têtes de marionnette sont méticuleusement conservées et la plupart sont utilisables pendant 100-150 ans. La tête la plus ancienne encore utiliser au théâtre a été faite en 1850.
Les marionnettes effectuent des formes dramatiques sous forme de chant (jouri) accompagner du shamisen. On appelle le "tayu", le narrateur et la voix de toutes les parties hommes, femmes, enfants. Souvent désigné sous le nom du Shakespeare du Japon, Chikamatsu Monzaemon (1653-1724) a écrit des pièces pour le théâtre de Bunraku et de Kabuki qui étaient très populaires avec des assistances de la bourgeoisie du temps et ces pièces sont toujours joués aujourd'hui.
Forme populaire
Bunraku était par le passé l'une des formes les plus populaires du Japon de divertissement public. Cependant pendant les dernières deux décennies, ses assistances avaient graduellement diminué face à la concurrence des films, T.V. et jeux vidéo.
Dans l'effort de renverser la tendance grandissante, en avril 2001 kazuko yoshioka et des autres fervents admirateur du bunraku ont fondé le bunraku Oendan basé à Osaka (club de propulseur de bunraku). Osaka est la plus prestigieuse maison du bunraku, elle possèdent environ 6000 fidèles. Kazuko et ses membres avaient autoriser dans le théâtre de bunraku des conférences libres, mais aussi en faisant circuler des flyers dans la ville.
Un grand bon a été fait à cet art quand l'UNESCO a déclaré le bunraku comme chef d'oeuvre oral et intangibles héritages. Afin de célébrer cette récompense mais aussi de faire toujours promouvoir le bunraku, le théâtre d'Osaka donnait 30 places pour assister aux représentations pour des non japonais.