Les geishas - Généralité
Les geishas comparées au Maïko sont moins flamboyantes par leur habit. Le kimono de la Geisha est habituellement d'une couleur simple et subtile. Les dessins des kimonos sont souvent des scènes de nature ou des thèmes traditionnels japonais. On peut en découvrir différents suivant les saisons. De même la ceinture des geishas est souvent une ceinture subtile avec un brocard de même couleur que la ceinture.
Au quotidien la coiffure de la geisha est composé d'une broche relativement simple quelque fois des perruques complexes sont portées pour des occasions spéciales. Pour la maiko et la geisha avec le maquillage blanc le kimono à "5 crêtes" (kuro tomesode) est le vêtement le plus formel. Ce kimono est un kimono noir avec les crêtes (kamon de la famille) de l'Okiya sur le devant, sur le dos de chaque douille et un au centre du dos au dessus du collier. Un collier blanc de perle placé sur le kimono de dessous est signe de maturité.
Plutôt que l'okobo de la maiko, la geisha peut utiliser les "zohri" laqué plat avec ou sans "Tabi" (chaussettes boutonnées). Le port de Zohri et d'okobo sans tabi est une mode très "iki".
On s'attend à trouver des geishas qui soient d'excellente accompagnatrice et amusantes hôtesses pour les hommes. Elles doivent être raffinés dans l'art de la conversation, de la danse, du chant. La plupart des geishas de Kyoto sont adepte du shamisen (instrument de musique japonais traditionnel à 3 cordes) mais malheureusement ces arts se perdent dans les générations.
Les Geisha vivent dans l'Okiya maison traditionnel japonaise. Ces établissements sont souvent tenus par des femmes âgés souvent appelé mère (okasan) de la maison et celles-ci le plus souvent ont été elle-même geisha dans leur jeune age. L'Okiya est comme une famille ou une hiérarchie se modèle, elle sont souvent le lieu de basse cour ou que des femmes s'y trouve. On s'attend à ce qu'une geisha joue le rôle de la grande soeur (onesan) pour la maiko. Ce lien perdurera dans toute la vie, ce lien est comme celui d'un apprenti à un maître qui guide son apprenti vers la sagesse pour lui même enseigner à un apprenti. Le monde des fleurs et des saules est le monde tenu par les femmes. Dans ce monde, les hommes sont souvent des artisans, raboteurs, fabriquant de perruque,... La plupart des entreprises, salons de thé, l'Okiya est tenu par des femmes. C'est le seul monde ou tout s'inverse car c'est les femmes qui gèrent les affaires à la place des hommes.
Les salons de thé ou l'on s'amuse, sont séparés de l'Okiya, et sont tenus par des familles de générations en générations. La geisha est réservée à l'Okiya par ochaya (salon de thé) pendant un moment de la soirée. La geisha peut faire en une soirée plusieurs banquets et son temps de travail est comparé à de "l'argent de fleur". Cette notion viens du fait que par le passe l'ochaya brûlait des bâtonnets d'encens de fleur pendant que la geisha était dans l'ochaya, le prix a payer était suivant le nombre de bâtonnet brûlé. Les geishas pouvaient aussi facturé suivant le temps passé lors de divertissement, de figuration pendant la saison des fleurs de cerisier (sakura) ou même lors de réunions occasionnelles.
Traditionnellement le revenu principal d'une geisha provenait d'un danna ou seigneur. Ce danna subvenait à toutes les dépenses de la geisha et avait en retour un moment beaucoup plus privilégié avec elle. Souvent cette relation donnait lieu à un enfant, quelque fois soutenue par le père et quelque fois caché dans le monde des geishas. De nos jours, une geisha n'arrive pas toujours à trouver un danna qui puissent la financée et doivent continuer à travailler à des banquets, quand elles ne sont pas avec leur danna.
Au quotidien la coiffure de la geisha est composé d'une broche relativement simple quelque fois des perruques complexes sont portées pour des occasions spéciales. Pour la maiko et la geisha avec le maquillage blanc le kimono à "5 crêtes" (kuro tomesode) est le vêtement le plus formel. Ce kimono est un kimono noir avec les crêtes (kamon de la famille) de l'Okiya sur le devant, sur le dos de chaque douille et un au centre du dos au dessus du collier. Un collier blanc de perle placé sur le kimono de dessous est signe de maturité.
Plutôt que l'okobo de la maiko, la geisha peut utiliser les "zohri" laqué plat avec ou sans "Tabi" (chaussettes boutonnées). Le port de Zohri et d'okobo sans tabi est une mode très "iki".
Les geishas hôtesses raffinés
On s'attend à trouver des geishas qui soient d'excellente accompagnatrice et amusantes hôtesses pour les hommes. Elles doivent être raffinés dans l'art de la conversation, de la danse, du chant. La plupart des geishas de Kyoto sont adepte du shamisen (instrument de musique japonais traditionnel à 3 cordes) mais malheureusement ces arts se perdent dans les générations.
L'habitat de la geisha
Les Geisha vivent dans l'Okiya maison traditionnel japonaise. Ces établissements sont souvent tenus par des femmes âgés souvent appelé mère (okasan) de la maison et celles-ci le plus souvent ont été elle-même geisha dans leur jeune age. L'Okiya est comme une famille ou une hiérarchie se modèle, elle sont souvent le lieu de basse cour ou que des femmes s'y trouve. On s'attend à ce qu'une geisha joue le rôle de la grande soeur (onesan) pour la maiko. Ce lien perdurera dans toute la vie, ce lien est comme celui d'un apprenti à un maître qui guide son apprenti vers la sagesse pour lui même enseigner à un apprenti. Le monde des fleurs et des saules est le monde tenu par les femmes. Dans ce monde, les hommes sont souvent des artisans, raboteurs, fabriquant de perruque,... La plupart des entreprises, salons de thé, l'Okiya est tenu par des femmes. C'est le seul monde ou tout s'inverse car c'est les femmes qui gèrent les affaires à la place des hommes.
Le lieu de travail
Les salons de thé ou l'on s'amuse, sont séparés de l'Okiya, et sont tenus par des familles de générations en générations. La geisha est réservée à l'Okiya par ochaya (salon de thé) pendant un moment de la soirée. La geisha peut faire en une soirée plusieurs banquets et son temps de travail est comparé à de "l'argent de fleur". Cette notion viens du fait que par le passe l'ochaya brûlait des bâtonnets d'encens de fleur pendant que la geisha était dans l'ochaya, le prix a payer était suivant le nombre de bâtonnet brûlé. Les geishas pouvaient aussi facturé suivant le temps passé lors de divertissement, de figuration pendant la saison des fleurs de cerisier (sakura) ou même lors de réunions occasionnelles.
Traditionnellement le revenu principal d'une geisha provenait d'un danna ou seigneur. Ce danna subvenait à toutes les dépenses de la geisha et avait en retour un moment beaucoup plus privilégié avec elle. Souvent cette relation donnait lieu à un enfant, quelque fois soutenue par le père et quelque fois caché dans le monde des geishas. De nos jours, une geisha n'arrive pas toujours à trouver un danna qui puissent la financée et doivent continuer à travailler à des banquets, quand elles ne sont pas avec leur danna.